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mercredi 14 janvier 2015

PORNO BUZZ: deux cas de VIH dans le porno bareback les pornostars kiffent Taylor Swift et les « French Twinks » fêtent 2015 !






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LES ACTEURS  HOT HOUSE FANS DE TAYLOR SWIFT !



Pour vous fêter la bonne année, les studios Hot House ont demandé à leurs pornostars les plus sexy de se déhancher comme des souris sous LSD sur « Shake It Off ». Jimmy Durano, Johnny V, Luke Adams, Derek Atlas, Joey D, Boomer Banks, Colton Grey et Ludo Sander chantent en playback, twerkent, et « flexent » leurs pectoraux sur le hit de Taylor Swift ! Les fans apprécieront et les « haters gonna hate, hate, hate, hate, hate… »


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CALIFORNIE: DEUX CAS CONTAMINATIONS AU VIH LORS DE TOURNAGE DE SCÈNES BAREBACK


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Ça devait finir par arriver. Il y a quelques jours le Département de Santé Publique de Californie (CDPH) rendait public les cas de deux acteurs de porno gay bareback dont les tests de dépistage au VIH se sont avérés positifs. Un incident qui se serait produit en septembre 2014 lors d’un tournage organisé par un studio basé au Nevada.


D’après une dépêche de l’agence Associated Press, l’un des deux modèles, dont on ignore encore l’identité, aurait contracté le VIH lors une scène bareback, ou peut-être juste avant celle-ci. Cet acteur, qui apparemment aurait été testé « négatif » 2 semaines auparavant, aurait commencé à montrer des symptômes d’une infection virale lors d’un second tournage. Il aurait par la suite exposé un autre acteur à la maladie au cours de cette nouvelle scène tournée encore une nouvelle fois sans préservatif.


Premier cas depuis 2004


D’après le Département de Santé Publique: « Dans ce cas précis, l’acteur comme la société de production pensaient que le modèle était séronégatif pendant le tournage de cette scène. Peu après ce test, le taux de VIH dans son sang a rapidement augmenté, à un niveau où il pouvait infecter d’autres personnes. » En clair, le premier modèle a probablement contaminé le second acteur lors de cette deuxième scène.


Il est difficile d’établir avec certitude si ces deux acteurs ont bien été contaminé lors de ces tournages. Mais si tel était le cas, les opposants à une loi obligeant les acteurs de films X à tourner avec préservatifs ne pourront plus arguer, comme il le font depuis plusieurs mois, qu’aucune contamination n’a eu lieu lors d’un tournage depuis 2004.


« liberté d’expression »


Une ordonnance, la fameuse « Mesure B », a été adoptée en 2012 par les citoyens du comté de Los Angeles pour exiger le port du préservatif durant les tournages. L’industrie pornographique a contesté cette réglementation, au nom de la  liberté d’expression, affirmant que cela « nuirait au fantasme » et que la capote « soumettrait le public à des inquiétudes réelles telles que les grossesses et les infections sexuellement transmissibles ». Une cour d’appel a toutefois maintenu l’ordonnance et conclut qu’elle ne violait pas le droit à la liberté d’expression.


Depuis, plusieurs productions porno ont déplacé leurs tournages à l’extérieur du comté. Le nombre de studios ayant fait des demandes de permis dans le comté de Los Angeles est passé de 485 en 2012 à 40 en 2013. L’année 2014 restera comme celle du grand basculement. De très nombreux de studios américains de porno gay jusqu’ici « safe », se sont mis à produire des scènes bareback.


La « Freedom of Speech Coalition », un groupe de professionnels californiens lié à l’industrie du porno et très hostile à la « Mesure B » a pour l’instant refusé tout commentaire sur cette nouvelle affaire.


La dernière campagne anti "capote obligatoire" dans les films porno de la Freedom Of Speech Coalition.

« Si la Mesure B est approuvée, les acteurs devront porter des capotes, des lunettes, des gants, des digues dentaires et d’autres équipements. Vraiment? Votez non. » La dernière campagne anti-« capote obligatoire dans les films porno » de la « Freedom Of Speech Coalition ».

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