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samedi 22 septembre 2012

Triste poème d'un homme en détresse.



Gagner c'est ce que plus que tout je voudrai,
Aimer dans la vie, c'est ce dont j'ai toujours rêvé,
Yeux fermés pour ne voir la réalité !

Je ne représente que le terrible ennui,
Enfermé dans mon silence infini.

Saignant de mes anormalités,
Usé par cette fatalité,
Inondé par la souffrance,
Sans réel existence.

PS : Il y a un message codé dans ce texte ! Mettez un commentaire, si vous l'avez découvert !

2 commentaires:

  1. Je crois bien qu'il y a un acrostiche dans cette histoire.

    On peut aussi utiliser ce procédé (ou un autre proche dans le principe) pour des pensées plus joyeuses

    Pour l'exemple, George Sand et Alfred de Musset) :

    Cher ami,
    Je suis toute émue de vous dire que j'ai
    bien compris l'autre jour que vous aviez
    toujours une envie folle de me faire
    danser. Je garde le souvenir de votre
    baiser et je voudrais bien que ce soit
    une preuve que je puisse être aimée
    par vous. Je suis prête à montrer mon
    affection toute désintéressée et sans cal-
    cul, et si vous voulez me voir ainsi
    vous dévoiler, sans artifice, mon âme
    toute nue, daignez me faire visite,
    nous causerons et en amis franchement
    je vous prouverai que je suis la femme
    sincère, capable de vous offrir l'affection
    la plus profonde, comme la plus étroite
    amitié, en un mot : la meilleure épouse
    dont vous puissiez rêver. Puisque votre
    âme est libre, pensez que l'abandon ou je
    vis est bien long, bien dur et souvent bien
    insupportable. Mon chagrin est trop
    gros. Accourrez bien vite et venez me le
    faire oublier. À vous je veux me sou-
    mettre entièrement.
    Votre poupée

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